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Syndrome du colon irritable (SII)

Qu'est ce que le colon irritable ?

 

Vous avez consulté plusieurs gastro-entérologues, passé une coloscopie, une gastroscopie ou d’autres examens, et tout est revenu normal ?
Aucune inflammation, aucune lésion, aucun signe de maladie grave ?

Dans ce cas, vous souffrez très probablement du côlon irritable, aussi appelé syndrome de l’intestin irritable (SII), l’un des troubles digestifs fonctionnels les plus fréquents.

Un trouble réel, même si les examens sont normaux

Le côlon irritable n’apparaît pas sur les examens médicaux.
Il s’agit d’un dérèglement du fonctionnement de l’intestin, lié à une hypersensibilité digestive et à une motricité irrégulière.

C’est pourquoi les tests (coloscopie, prise de sang, échographie…) sont souvent normaux, alors que les symptômes sont bien présents.

Les symptômes du côlon irritable

Les signes les plus courants incluent :

  • douleurs abdominales récurrentes,

  • ballonnements, gaz, digestion lente,

  • diarrhée, constipation ou alternance,

  • sensation de ventre gonflé après les repas,

  • inconfort digestif malgré des examens normaux.

Ces symptômes peuvent varier selon l’alimentation, le stress, le sommeil et le rythme de vie.

Une bonne nouvelle : on peut réduire les symptômes

Même s’il n’existe pas de “guérison” définitive, le côlon irritable peut être stabilisé avec une prise en charge adaptée :

  • ajustements alimentaires ciblés,

  • diminution des FODMAPs,

  • choix d’aliments mieux tolérés,

  • prise en charge du stress digestif,

  • suivi régulier avec un diététicien spécialisé.

La majorité des patients voient une amélioration nette en 4 à 8 semaines.

Côlon irritable : pourquoi le diagnostic est si difficile ?

 

Le côlon irritable, aussi appelé syndrome de l’intestin irritable (SII), est une pathologie complexe à diagnostiquer. En effet, aucune anomalie n’apparaît dans les prises de sang, ni lors d’examens plus invasifs comme la coloscopie ou la gastroscopie.
Les patients présentent souvent des symptômes digestifs typiques — ballonnements, douleurs intestinales, diarrhées, constipation — mais également des manifestations plus hautes comme des reflux gastro-œsophagiens ou des douleurs à l’estomac.

Dans ce contexte, la méthode la plus fiable consiste à réaliser, avec l’aide d’un professionnel de santé, un diagnostic d’éviction alimentaire. Cette démarche permet d’identifier les aliments ou molécules mal tolérés en observant l’évolution des symptômes sur une période adaptée à la situation de chacun.

Depuis plus de dix ans, le cabinet accompagne des patients souffrant de ces troubles. Notre objectif est de réduire l’hypersensibilité intestinale, d’identifier précisément les molécules responsables des réactions digestives, puis de déterminer les seuils de tolérance individuels.
Une fois cette étape franchie, nous mettons en place un programme personnalisé de désensibilisation, permettant de réintroduire progressivement les aliments et de stabiliser durablement le confort digestif.

Notre prise en charge au cabinet

 

Obtenir un segment digestif sain

 

Premiére étape

 

Cette étape est certainement la plus délicate. Afin de déterminer précisément quelle sont les molécules responsables de ces intolérances, il est essentiel de suivre un régime d'éviction strict pendant une certaine durée. Cette étape est assez sensible et doit être encadré par un professionnel.

 

En effet, on retrouve souvent des molécules cachées dans certain aliment qu'on ne pourrait pas soupçonner. Par exemple, les charcuteries contiennent très fréquemment du lactose. Hors, pour réaliser un diagnostic d'éviction efficace, il est essentiel que l'on ne retrouve pendant toute la durée du test les molécules incriminées sous peine de passer à côté du diagnostic.

Identifier les mollecules responsables de ces troubles

 

Deuxièmes étapes

 

De nombreuses molécules peuvent être responsable d'intolérance alimentaire comme les plus connus comme le gluten et le lactose, mais il existe également un grand nombre d'autres molécules susceptibles d'entrainer des intolérances.

 

Afin de réaliser un diagnostic efficace, nous réaliserons une enquête alimentaire préalable qui nous permettra de savoir quelles molécules rechercher. En effet, certaines questions bien ciblées permettent d'éviter de devoir faire un régime d'exclusion trop strict, intenable et qui augmentera le risque de faire des erreurs alimentaires.​​

Determiner le seuil de tolérances

 

Derniére etape

 

Chaque personne va avoir un seuil de tolérance différent. Certain vont avoir une réaction assez vive et rapide après l'ingestion de la molécule, d'autres auront des symptômes plus tardivement voir dans les 24h.

Il est essentiel de déterminer son seuil de tolérance pour retrouver un équilibre de vie.

 

Il est également possible de réaliser une désensibilisation afin d'améliorer la tolérance. Pour cela, nous avons développé un protocole précis qui améliorer la tolérance dans 85% des cas.

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Questions courantes

Quel est la durée du traitement pour traiter le colon irritable ?

La durée d’un traitement du syndrome de l’intestin irritable varie en général entre 1 et 2 mois, selon l’intensité des symptômes et la réponse de chacun aux ajustements alimentaires.

Dans la majorité des cas, on observe rapidement une réduction nette, voire une disparition, des symptômes typiques des colopathies :

  • douleurs abdominales,

  • ballonnements,

  • gaz,

  • alternance diarrhée–constipation,

  • inconfort digestif après les repas.

L’objectif du traitement n’est pas seulement de calmer une crise ponctuelle, mais de stabiliser durablement le fonctionnement intestinal grâce à un travail combiné sur :

  • l’alimentation,

  • le microbiote,

  • la gestion du stress,

  • et l’hygiène de vie.

Chaque patient avance à son rythme, mais un accompagnement structuré permet généralement d’obtenir des résultats rapides puis durables

Qu’est-ce qui a déclenché mes troubles digestifs ?

Les troubles intestinaux, comme le côlon irritable, apparaissent généralement à cause d’un ensemble de facteurs plutôt qu’une seule cause précise.

La plupart du temps, ils sont liés à :

  • une hypersensibilité de l’intestin,

  • un déséquilibre du microbiote,

  • une période de stress ou de fatigue,

  • une infection digestive passée,

  • ou une alimentation mal tolérée.

Ces éléments peuvent rendre l’intestin plus réactif, ce qui explique les douleurs, les ballonnements ou l’alternance diarrhée–constipation.

La bonne nouvelle : avec des ajustements alimentaires ciblés et un suivi adapté, les symptômes peuvent s’améliorer rapidement et durablement.

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